SEPTEMBRE | Devenir acteur de sa santé

Arrêter d'entretenir la peur

La seule chose dont il faut avoir peur, c’est la peur elle-même. (Franklin Roosevelt)

Préservez-vous de la pollution médiatique !

Le climat anxiogène ne laisse que peu de place au rire, à la légèreté, aux embrassades… à tout ce qui donne sa couleur à la vie ! L’anxiété, la peur, les mauvaises pensées et les idées négatives détériorent votre santé, votre moral, votre immunité.

Or, les médias sèment la panique et alimentent la peur : peur au sujet de la pandémie, peur au sujet des autres, peur au sujet des virus et bactéries pourtant si nécessaires à votre corps et à la vie.

Le premier geste santé est donc d’éteindre votre radio et télévision, surtout au moment des informations.

Rappelez vous : chaque fois que vous riez, vous êtes libre !

N'attendez pas

Attendez-vous qu’on vous dise : “Tu as l’air fatigué, tu devrais te reposer”?
Attendez-vous qu’on vous dise : “Tu en as déjà trop fait, prends du temps pour toi”?
Attendez-vous qu’on vous dise : “Tu as soif, tiens, je t’ai servi un verre d’eau fraîche”?
Attendez-vous qu’on vous dise : “Tu devrais t’offrir ce livre qui te fait tellement envie”?
Attendez-vous qu’on vous dise : “Tes projets sont importants, on va te dégager quelques heures pour que tu puisses avancer dessus”?

N’attendez plus qu’on vous dise ces phrases-là. Dites-les-vous en premier, car :

ce que vous voulez, ce dont vous avez envie,
ce dont vous avez besoin, ce qui vous fait du bien
ce qui vous met en harmonie, ce qui vous rend heureux,

C’est à vous d’en faire une priorité.

Avec amour, avec détermination.

Si vous ne le faites pas, ce sont les priorités des autres qui seront en pôle position dans votre agenda.

Changer prend du temps

Il arrive un moment, dans toute démarche de changement, où l’inconfort augmente alors que le bénéfice n’est pas encore au rendez-vous.

on s’est lancé, on avance,
on essaie, on se trompe,
on rate, on est désorienté.

C’est chaotique, c’est l’inconnu, c’est compliqué. Et on doute, on ne sait pas, on ne sait plus, on n’est plus du tout persuadé que c’était une bonne idée.

Pourquoi a-t-on décidé de faire ça, déjà ?
C’est normal que ce soit si inconfortable ?
Est-ce que c’est vraiment sûr que ça va marcher ?

C’est le moment où on est tenté de tout arrêter. De replonger se cacher sous la couette avec un paquet de gâteaux.

Seulement voilà : si vous faites machine arrière quand l’inconfort apparaît, vous vous priverez de votre propre croissance. Vous raterez l’opportunité de découvrir ce qu’il y a de l’autre côté.

De découvrir qui vous êtes.